Ça (2017) : 500 millions de dollars de recette, le plus grand succès d’horreur de tous les temps

Le film Ça, nouvelle adaptation du roman de Stephen King, est devenu le film d’horreur le plus populaire de tous les temps en étant en passe de dépasser les 500 millions de dollars de recettes engendrées depuis sa sortie. Déjà populaire dans l’inconscient collectif, l’histoire du clown ne fait que s’imprimer encore plus dans la culture.

Vous pensiez que la phobie des clowns commençait à s’atténuer ? Avec le roman de Stephen King, et son adaptation en téléfilm par la suite, la coulrophobie avait marqué de nombreuses générations mais commençait à peine à s’estomper… jusqu’à bien sûr qu’une nouvelle adaptation de grande envergure ne soit annoncée.

Le nouveau film Ça de 2017 défraie la chronique depuis quelques mois déjà, et les premiers retours sur le long métrage sont excellents. De toute évidence, il s’agit d’un succès puisque les premiers chiffres concernant son exploitation nous parviennent, montrant qu’il a su attirer les foules.

500 millions de dollars de recettes pour Ça, un succès

Le box-office indique en effet que le film a déjà enregistré 272 millions de dollars en Amérique du Nord et 227 millions à l’international. En passe de dépasser la barre des 500 millions de dollars de recettes, il est devenu numéro 1 du classement des longs métrages dans la catégorie Horreur “rated R” (l’équivalent de l’interdit aux moins de 18 ans) et numéro 2 des films d’horreur supernaturels.

Le succès ne s’arrête pas là, puisqu’en France le film a déjà enregistré plus d’un million d’entrées. La coulrophobie a donc encore de grands jours d’avant elle, d’autant qu’une deuxième partie du film a déjà été annoncée, sûrement pour surfer sur cette vague de positivité.

Peut-être que les réalisateurs et scénaristes se sentiront plus libres cette fois-ci, alors qu’une scène choquante a été coupée au montage de cette première partie. Avec un tel succès aussi bien d’estime que financier, les producteurs pourraient être tentés de laisser libre cours à l’imaginaire horrifique de ses créateurs.