Vidéo : des Russes pensent avoir filmé un vrai Yéti

Une vidéo prise grâce à la dashcam d’un conducteur Russe a-t-elle immortalisé le passage d’un vrai Yéti ? Alors qu’il conduisait de nuit sur une route de campagne enneigée, un conducteur et son passager ont eu la surprise de voir passer au loin un bipède au poil angora évoquant le mythique animal. 

Des Russes ont-ils immortalisé en vidéo un vrai Yéti ?
Contrairement à cette image, le Yéti de nos amis Russes ne s’appelle pas Chewbacca !

Les Dashcam, ces sortes de GoPro pour la voiture sont une habitude très russe. Celles-ci visant normalement à lutter aux fraudes aux assurances, qui sont monnaie courante dans le pays. Du coup, une grande partie des voitures particulières en sont équipées. Et leurs propriétaires inondent la toile de vidéos parfois étranges, drôles, déprimantes, ou, comme dans ce cas précis, pleine de mystère.

La scène se passe en République de Backirie, un Etat situé au sud-ouest de la fédération de Russie près du Kazakhstan. On est de nuit dans une voiture qui roule sur une route de campagne enneigée. Le conducteur discute avec un passager, lorsque soudain une forme humanoïde velue, qui semble recouverte de fourrure des pieds à la tête traverse la route au loin (pour voir le passage précis de la bête, avancez la vidéo en fin d’article à 45 secondes).

Pour être précis nous aurions dû parler plutôt d’Almasty, le terme Russe qui désigne le “Yéti” local. La légende d’une créature mi-homme mi-singe a en effet des équivalents plus ou moins connus partout autour du monde et Yéti désigne la créature de l’Himalaya. La force et la persistance de ces légendes a conduit à des expéditions pour en retrouver des spécimen.

Mais si des traces de pas ont déjà été retrouvées, jusqu’ici aucune preuve indiscutable de leur existence n’a pu être apportée. Pis, pour la plupart des scientifiques, cette créature appartient à la légende, et à rien d’autre : aucun fossile ou cadavre n’a jamais été retrouvé, les photos d’empreintes sont plutôt des témoignes assez “light”, on va dire,  et selon les biologistes, vivre ainsi sous le radar signifie que la population est de moins de 500 individus.

Ce qui ne peut permettre à aucune espèce connue de survivre. Du coup, les paris sont ouverts : regardez la vidéo et dites-nous ce que vous pensez avoir vu !