Attestation de déplacement Covid-19 mars 2021 : comment télécharger la dérogation ?

Une nouvelle attestation de déplacement entre en vigueur le samedi 20 mars 2021 dans 16 départements. Elle est obligatoire pour justifier vos sorties de jour comme de nuit. Dans les départements non concernés par le nouveau confinement, le couvre-feu reste en vigueur mais démarre désormais à partir de 19 heures.

Le jeudi 18 mars 2020, le Premier ministre Jean Castex a annoncé le retour au confinement dans les 16 départements les plus touchés par la « troisième vague » du Covid-19. Pour tous vos déplacements en journée comme la nuit, vous devrez vous munir de la nouvelle attestation de déplacement. Le déconfinement s’applique pour l’instant aux départements des régions d’Ile-de-France, des Hauts-de-France, des Alpes-Maritimes, de l’Eure et de la Seine-Maritime.

Voici les zones où la nouvelle attestation de déplacement devient obligatoire dès le samedi 20 mars 2021 :  Aisne ; Alpes-Maritimes ; Essonne ; Eure ; Hauts-de-Seine ; Nord ; Oise ; Paris ; Pas-de-Calais ; Seine-et-Marne ; Seine-Maritime ; Seine-Saint-Denis ; Somme ; Val-de-Marne ; Val-d’Oise ; Yvelines. Le confinement décrété par le gouvernement s’étend sur au moins 4 semaines.

Attestation de déplacement mars 2021 : les nouvelles mesures de restriction

Comme d’habitude, les sorties ne sont autorisées que pour des cas exceptionnels. L’attestation de déplacement Covid-19 n’est donc valable que pour :

Quelques nouvelles dispositions sont à retenir.

Coronavirus : comment télécharger la nouvelle attestation de déplacement

Vous pouvez télécharger les nouvelles attestations de déplacement directement depuis le site du ministère de l’Intérieur en cliquant sur le lien en fin d’article. Comme d’habitude, vous pourrez également générer une attestation sur un smartphone ou via l’application Tous Anti-Covid.

Ce que vous risquez en cas de défaut d’attestation

Une première infraction vous expose à une amende de 135 euros. Pour toute récidive dans les 15 jours suivants, l’amende passe à 200 euros. Enfin, après 3 infractions dans un délai de 30 jours, le contrevenant risque une amende de 3750 euros et 6 mois d’emprisonnement.