Disney+ : les meilleurs dessins animés disponibles sur la plateforme de Mickey

Vous cherchez un dessin animé à visionner sur Disney+ ? Découvrez notre sélection des meilleurs films d’animation présents dans le catalogue de la plateforme de SVOD. 

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Le catalogue de Disney+ grossit à vue d’œil. Chaque semaine, de nouveaux contenus sont ajoutés pour le plus grand plaisir des abonnés, toujours avides de nouveaux programmes à visionner. Justement, il est de plus en plus en ardu de faire son choix parmi les nombreux films et séries disponibles sur la plateforme de la célèbre souris. Pour vous donner quelques idées, nous vous concoctons régulièrement des sélections de contenus susceptibles de vous plaire.

Ce faisant, nous avons rédigé dernièrement un guide des meilleures séries à visionner sur Disney+. Vous y retrouverez notamment The Mandalorian, WandaVision ou encore les Simpson. Dans ce dossier, nous ferons la part belle aux dessins animés disponibles sur la plateforme. Nous y inclurons évidemment des films d’animation Disney mais pas que. Découvrez notre sélection ci-dessous !

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Meilleurs dessins animés sur Disney+ : la sélection de la rédaction

Là-haut

Enfant, Carl Fredricksen suit avec émerveillement la découverte des chutes du Paradis par l’explorateur Charles Muntz. Celui-ci ramène les restes d’une créature qu’il baptise « monstre des chutes du paradis ». Sauf que la communauté scientifique estime que le squelette est factice. Dès lors, Carl rêve de se rendre sur place pour laver l’honneur de son idole. Il rencontre Ellie qui entretient la même fascination que lui pour les chutes. Et finit par l’épouser. Mais quand Carl parvient enfin à amasser l’argent nécessaire pour le voyage, sa chère et tendre décède des suites d’une maladie.

Qui plus est, sa maison victorienne est convoitée par des promoteurs qui souhaitent la raser et envoyer l’homme en maison de retraite. Déterminé à la conserver, il attache une flopée de ballons à sa demeure et s’envole vers les chutes du Paradis en compagnie de Russell, un jeune scout présent malgré lui sur place au moment du décollage. Ne passez pas à côté de ce dessin animé grandiose et émouvant. Lequel risque de vous arracher plus d’une larme, la fin de vie et la nostalgie d’un idéal étant narrés avec beaucoup de poésie et de justesse.

WALL-E

Toujours au rayon Pixar, on vous recommande chaudement de découvrir Wall-E. Ce film d’animation dystopique  dénonce très justement la surconsommation qui consume notre belle planète à petit feu. Voici le pitch. Dans un monde futuriste, les humains doivent s’exiler dans l’espace pendant cinq ans. La Terre est devenue inhabitable, étant jonchée de détritus. Des robots appelés WALL-E sont alors mobilisés pour réaliser un nettoyage massif. Mais nombre d’entre eux finissent brusquement pas se désactiver.

700 ans plus tard, seul un WALL-E est encore débout. Celui-ci a un caractère bien trempé, un sens de la débrouillardise très développé et surtout une curiosité insatiable. Mais la solitude et la routine le pèsent, alors qu’il continue inlassablement à nettoyer la Terre. Jusqu’au jour où un robot appelé EVE est envoyé sur place à la recherche de potentielles formes de vie ayant subsisté. WALL-E tombe alors follement amoureux de sa congénère…

Outre des images splendides, ce film animé a la particularité d’inclure exclusivement des dialogues robotiques. Lesquels n’enlèvent en rien la sensibilité des robots mis en scène. Bien au contraire !

Soul

Soul a été salué par la critique, étant notamment élu meilleur film d’animation aux Golden Globes. Pour rappel, il était sorti directement sur Disney+ en raison du coronavirus. Mais quelle est l’intrigue de ce film d’animation à haute charge philosophique sur le sens de nos existences ? Joe Gardner enseigne la musique dans un collège new-yorkais. Sauf qu’il rêve ardemment de gagner sa vie en faisant du jazz, sa grande passion. Il décroche alors un jour une opportunité auprès du groupe de Dorothea Williams, une place étant vacante.

Impressionnant les musiciens grâce à sa maîtrise du piano, il est invité à se produire sur scène avec le groupe pour faire ses preuves. Fou d’excitation, il tombe malencontreusement dans une bouche d’égout, ce qui le précipite dans le « Grand Après » où les âmes s’acheminent vers leur destination finale. Mécontent d’avoir trépassé alors qu’il était tout proche du but, il tente de fuir mais finit dans le « Grand Avant », là où les âmes naissent et se préparent à leur vie sur Terre. Accompagné de 22, une âme rebelle, il va alors tout faire pour revenir à la vie.

Ratatouille

Pour être un bon cuisinier, il faut évidemment avoir acquis certaines techniques. Mais aussi mettre de l’amour dans ses préparations pour transmettre des émotions à ses convives. Jeune rat mordu de cuisine, Rémy parvient parfaitement à réunir ces deux aspects fondamentaux. Doté d’un odorat très développé lui permettant de doser parfaitement les ingrédients, il lit avec délectation le livre de recettes du chef étoilé Auguste Gusteau décédé récemment après avoir perdu une étoile.

À l’origine de cette rétrogradation, on retrouve le redoutable critique Anton Ego. Lequel n’est pas d’accord avec la devise du chef Gusteau qui estime que la cuisine est l’affaire de tous. Après quelques péripéties, Rémy finit par s’inviter dans le restaurant de son idole. Et fait la connaissance d’Alfredo, un commis totalement dénué de qualités culinaires. Parvenant à séduire une critique en sublimant une soupe, le rat va ensuite aider Alfredo à briller derrière les fourneaux en se cachant sous sa toque.

Fantasia

 

« Fantasia est une occasion unique. Pour mon art, cela ouvre des perspectives illimitées », déclarait Walt Disney à son sujet. Sorti en 1940, ce chef d’oeuvre se découpe en sept parties, chacune illustrant des morceaux classiques à l’instar de la Toccata et fugue en ré mineur de Bach, du Casse-noisette de Tchaïkovski ou encore du fabuleux Ave Maria de Schubert. Véritable manifeste du cinéma d’animation, il met notamment en scène un certain Mickey Mouse dans plusieurs séquences remplies de magie (au sens propre et figuré du terme). À (re)voir de toute urgence !

Mulan

Dévoilé en 1998 dans les salles obscures, Mulan a tout de suite séduit les spectateurs comme les critiques. Lesquels ont notamment apprécié la morale induite par le film d’animation. À savoir qu’une femme peut également accomplir les mêmes prouesses qu’un homme si tant est qu’on lui laisse la liberté de les réaliser. Alors que les Huns s’attaquent à la Chine, l’Empereur exige qu’un homme par famille soit mobilisé pour défendre le pays. De son côté, Mulan s’apprête à rencontrer la marieuse chargée de lui trouver un mari.

Mais la jeune fille multiplie les impairs et finit par être renvoyée par l’entremetteuse. N’ayant qu’une fille, Fa Zhou est quant à lui dans l’obligation d’aller au combat malgré son âge avancé et sa maladie. Ce qui n’est pas du goût de Mulan. Laquelle décide de se couper les cheveux puis de revêtir l’armure de son géniteur. Ce afin de le remplacer sur le front en se faisant passer pour un homme.

Pocahontas

La légende de Pocahontas est encore sujette à débat. Certaines sources indiquent que cette Amérindienne avait noué des liens amicaux forts avec le capitaine John Smith, le sauvant même de la mort à plusieurs reprises. Dans Pocahontas : Une légende indienne, Disney prend de la distance avec l’histoire en racontant la romance (qui n’aurait jamais eu lieu dans la réalité) entre le colon britannique Smith et Pocahontas. Alors que celle-ci est censée épouser un valeureux guerrier de la tribu, la jeune fille s’y oppose et part se réfugier auprès de Grand-Mère Feuillage.

De son côté, John Smith et les autres explorateurs sont en quête d’or. C’est là que le colon fait la connaissance de la belle Amérindienne. La fille du chef Powhatan tente alors de lui ouvrir les yeux sur la vraie nature du monde tout en lui transmettant des valeurs de tolérance dont il manque cruellement. Elle lui révèle aussi qu’il n’y a pas d’or à trouver ici. Une idylle va finalement naître entre les deux personnages. Lesquels vont parvenir à dépasser l’inimitée entre leurs deux peuples, conséquence des aspirations colonialistes des Britanniques. Mention spéciale pour la bande son et notamment le fabuleux morceau « L’Air du vent » (à écouter ci-dessus).

Le Roi Lion

Nous ne pouvions pas rédiger cette sélection sans inclure ce grand classique de Disney. Sorti en 1994, Le Roi lion est rapidement devenu incontournables dans le cœur des petits et des grands. Outre l’histoire très bien ficelée, on peut faire de nombreuses analogies politiques avec ce film d’animation. Lequel raconte le cheminement initiatique de Simba, fils du roi Mufasa qui règne sur les animaux. Amené également à devenir monarque, le jeune lionceau suit les enseignements de son père qui tente de lui expliquer les responsabilités inhérentes à cette fonction.

Tapi dans l’ombre, Scar, le frère du roi, convoite ardemment le trône. Et parvient à attirer Mufasa dans un piège en lui expliquant que son fils court un grand danger. Il réussit à sauver ce dernier mais tombe dans l’abîme, relâché par son frère machiavélique. Lequel explique ensuite à Simba qu’il est responsable de la mort de son père et qu’il doit ainsi s’exiler. Scar demande ensuite aux hyènes de tuer le lionceau qui réussit toutefois à s’échapper. Son exil lui permettra alors de grandir et de se renforcer afin de reconquérir le royaume meurtri sous le joug de Scar.

La Belle et la Bête

Jamais avare en morales bien senties, Disney récidive avec La Belle la Bête, un conte qui se décline dans de multiples variantes selon la région du monde où il est raconté. Il met en exergue l’idée selon laquelle il est possible d’être séduit par la beauté intérieure et de faire fi d’une apparence repoussante de prime abord. Autrement dit, l’amour n’est pas seulement une question d’attirance physique, la véritable beauté provenant du cœur. Un adage qu’un jeune prince insensible apprend à ses dépens au début de dessin animé.

Renvoyant avec cruauté une mendiante qui lui offrait une rose en échange du gîte, il se rend compte finalement trop tard qu’il s’agit en réalité d’une magicienne. En guise de punition, celle-ci le maudit en le transformant en bête hideuse. Pour retrouver sa forme initiale, il devra s’éprendre d’une femme et être aimée par celle-ci avant que la dernière pétale de rose ne tombe. Alors que la tâche s’annonce impossible, une certaine Belle va finalement entrer dans sa vie…

Outre la charge dramatique puissante de l’intrigue, on apprécie tout particulièrement l’aspect comique conféré par les objets animés du château à l’instar de Big Ben et de Lumière.

Les Simpson, le film

« Spider-Cochon, Spider-Cochon, il peut marcher au plafond. Est-ce qu’il peut faire une toile ? Bien sûr que non, c’est un cochon. Prends garde ! Spider-Cochon est là ! » Telle est la chanson iconique que toutes les personnes ayant visionné Les Simpson, le film ont retenu. Sorti en 2007, ce long-métrage d’animation permet de suivre Homer et consorts dans une histoire s’étalant sur 87 minutes. Soit bien plus qu’un épisode classique.

Hilarant à souhait, il aborde notamment la question environnementale avec brio en proposant une satire pertinente. Voici le postulat de départ. Déjà très pollué, le lac de Springfield est devenu toxique. En cause, un certain Homer Simpson qui y a déversé les selles de son cochon qu’il chérit. Une catastrophe écologique qui pousse le gouvernement à isoler la ville sous un dôme de verre. De leur côté, les Simpson rallient l’Alaska après que les habitants ont découvert le pot aux roses.