Twitch : jouez gratuitement en bourse avec 50.000 vrais dollars, en vidéo

Sur Twitch un ingénieur d’Amazon vous propose de “jouer” gratuitement en bourse avec 50.000 vrais dollars. Tous les internautes peuvent voter pour acheter ou vendre des actions dans cette sorte de jeu boursier pourtant bien réel, puisque son créateur a mis à disposition cette importante somme d’argent. Pour l’instant, plus de 60.000 boursicoteurs ont participé à ce live, toujours actif, baptisé StockStream. 

Un ingénieur d’Amazon Mike Roberts s’est lancé dans un live étonnant sur Twitch : il a mis 50.000 dollars de sa poche et propose aux internautes de voter pour acheter ou vendre des actions. Le tout avec un système de points, et des règles de telle sorte à ce que tout le monde prenne ça pour un jeu. Depuis la mise en ligne du live, mardi, la valeur du portefeuille a gagné 126,99 dollars (au moment où nous écrivons ces lignes).

Twitch : un live propose de jouer gratuitement en bourse avec 50.000 vrais dollars, en vidéo

Du point de vue du fonctionnement, n’importe qui peut, via le chat, et un système de code, voter pour l’achat ou la vente d’un titre. Les votes prennent place toutes les 5mn et à la fin du décompte, c’est l’option qui a remporté le plus de votes qui gagne, et une action est achetée. Le chat sur la droite est animé d’une frénésie quasi permanente, avec au moment où nous écrivons ces lignes quelques 141.000 followers.

L’auteur du projet précise qu’il est possible de faire des donations, qui se rajoutent à l’investissement. On relève qu’à part un message qui s’afficherait dans le live, et un merci, il ne faut semble-t-il pas espérer un retour sur investissement. Mike Roberts explique s’être inspiré de threads sur Reddit dans lesquels des internautes conseillent d’autres sur les actions à acheter.

Pour l’heure le système semble plutôt bien fonctionner. Si ça marche, cela vaudra peut-être le coup d’y jeter un oeil de temps en temps. Le live commence et s’arrête aux heures d’ouverture et de fermeture de la bourse de New-York.