Un astrophysicien prétend avoir découvert une technologie extraterrestre

Le mois dernier, le physicien théoricien Avi Loeb affirmait que de minuscules sphérules récupérées au fond de l’océan étaient probablement d’origine extraterrestre. Mais aujourd’hui, des scientifiques remettent en cause cette hypothèse.

Si, officiellement, le Pentagone ne dispose d’aucune preuve crédible de l’existence des extraterrestres, cette hypothèse passionne les foules. D’ailleurs, la marine américaine n’a pas voulu déclassifier certaines vidéos qui montreraient des objets volants non identifiés, alimentant toujours plus les spéculations. La NASA a même mis en place une section de recherche dédiée à l’étude des OVNIs. Le mois dernier, un théoricien lâchait une bombe, affirmant avoir découvert une technologie extraterrestre.

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Les affirmations de l’intéressé découlent d’un objet enregistré par les capteurs du gouvernement américain le 8 janvier 2014. Ce jour-là, une boule de feu venue de l’espace s’est enfoncée dans l’océan Pacifique occidental, au large de la côte nord-est de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Intrigué par la vitesse anormale de l’objet, Avi Loeb a décidé d’entreprendre des recherches approfondies.

L’objet affiche des propriétés étonnantes

Le mois dernier, le chercheur a pris la tête d’un voyage financé par un entrepreneur en cryptomonnaies afin de récupérer les preuves de l’existence de cet objet mystérieux. En traînant un filet magnétique attaché au bateau de l’expédition sur le fond de l’océan, l’équipe a récupéré une série de minuscules objets sphériques. Selon le physicien, ceux-ci “apparaissent au microscope comme de belles billes métalliques“.

L’analyse préliminaire a indiqué que les sphères submillimétriques étaient composées à 84 % de fer, le reste étant constitué de silicium, de magnésium et d’oligo-éléments. Avi Loeb affirme : “Du fait de son exposition à la chaleur de la boule de feu, la surface de l’objet s’est probablement désintégrée en minuscules sphérules, similaires en nombre par unité de surface à celles récupérées par l’expédition“.

Le scientifique a alors envoyé ces échantillons à Harvard pour une étude approfondie. Et, selon lui, il s’agit bien d’une technologie extraterrestre. L’homme indique ainsi : “Nous avons calculé sa vitesse en dehors du système solaire. Elle était de 60 km par seconde, soit plus rapide que 95 % de toutes les étoiles situées à proximité du soleil. Le fait qu’il soit composé de matériaux plus résistants que les météorites de fer et qu’il se déplace plus vite que 95 % de toutes les étoiles proches du soleil suggère qu’il pourrait s’agir d’un vaisseau spatial d’une autre civilisation ou d’un gadget technologique“.

Source : engadget