eFootball (PES) 2022 massacre le physique des joueurs, Twitter se déchaîne

Le 30 septembre, les joueurs ont pu commencer à apprivoiser eFootball, le free-to-play qui prend la suite de PES. Bugs à répétition, visages des joueurs massacrés… Les internautes ont littéralement dégommé le nouveau jeu de Konami. 

L’attente était grande. Mais les espoirs ont rapidement été douchés. L’été dernier, nous apprenions que Konami remisait PES aux oubliettes pour proposer un free-to-play intitulé eFootball. Cette simulation sera régulièrement mise à jour, de nouveaux contenus et des évènements compétitifs en ligne étant notamment au programme. Dans un premier temps, le jeu sera ainsi très limité avant d’être enrichi au fil de l’eau.

Depuis le 30 septembre, les joueurs ont notamment la possibilité de faire des matchs cross-gen et en local avec une sélection restreinte d’équipes. Ils ont ainsi pu donner leurs premières impressions sur eFootball. Et Konami en prend pour son grade ! Sur Twitter, les internautes ont notamment déploré les nombreux bugs qu’ils ont rencontrés dans le jeu. Ils estiment ainsi que son développement a été bâclé. 

Lire aussi >> eFootball: date de sortie, prix, contenu, tout savoir sur le successeur de PES

eFootball : les internautes dégomment le nouveau jeu de Konami

Côté graphismes, ce n’est guère plus reluisant. Si certains saluent la modélisation réussie des visages des joueurs, ces derniers souffrent de gros soucis esthétiques par moments. En l’occurrence, des captures d’écran de Cristiano Ronaldo et Lionel Messi font vraiment peine à voir. Notamment au niveau de leurs yeux qui sont littéralement difformes.

Pour vous donner une idée de l’étendue du désastre, nous avons sélectionné quelques tweets qui documentent les grosses casseroles d’eFootball. Il n’y a désormais plus qu’à espérer que les prochaines mises à jour et correctifs gomment un tant soit peu les dysfonctionnements majeurs constatés par la communauté. Autant dire que Konami a du pain sur la planche. De son côté, FIFA peut dormir sur ses deux oreilles, la concurrence étant pour le moment loin de menacer son hégémonie.