Extra-terrestres : un scientifique pense pouvoir détecter facilement des civilisations alien

Comment détecter des civilisations extra-terrestres ? Un scientifique de l’université de Tbilissi soutient une folle théorie. Celles de “sphères de Dyson” que des civilisations très avancées construiraient autour d’étoiles pour capter leur énergie. Son idée, c’est que l’on cherchait jusqu’ici le mauvais objet au mauvais endroit. Ces sphères de Dyson seraient des anneaux, et il y en aurait davantage autour de pulsars et d’étoiles à neutrons !

On est en pleine science fiction : un chercheur de l’Université libre de Tbilissi, Zaza Osmanov, vient de publier une étude, dans laquelle il affirme, chiffres à l’appui, que des extra-terrestres seraient en train de construire des mégastructures autour de certains astres, pour en récolter l’énergie. Zaza Osmanov se base sur plusieurs concepts controversés et découvertes récentes.

Pour détecter les extra-terrestres, ce scientifique pense pouvoir détecter leur “sphères de Dyson”

Notamment la notion d’Echelle Kardachev qui est utilisée par les chercheurs du programme SETI pour classer les civilisations en fonction de leur niveau technologique et de leur consommation énergétique. Ou encore les sphère de Dyson, objets théoriques visant à capter l’énergie des étoiles. Il rebondit aussi sur l’énigme de l’étoile KIC 8462852 dont la luminosité varie de manière étrange.

Ce dernier phénomène a, entre-temps, trouvé une explication rationnelle : l’étoile serait tout simplement en plein festin galactique. Ce qui n’empêche pas notre chercheur d’aller chercher ces mégastructures ailleurs. Selon lui, les vraies sphères de Dyson, si elles existent, ne seraient que des anneaux, très difficiles à détecter depuis la Terre. Mais les civilisations alien pourraient les utiliser autour d’autres astres que des étoiles.

Comme les pulsars et étoiles à neutrons. Le scientifique poursuit dans son étude en expliquant avoir une méthode pour les détecter : le rayonnement infrarouge de ces structures qui chaufferaient, inéluctablement. Selon lui, on pourrait même arriver à les détecter avec nos instruments actuels, si l’on sait où chercher. Il encourage la communauté scientifique à creuser davantage cette voie.