Star Wars Outlaws : Jabba Le Hutt fait son grand retour

Le prochain RPG en monde ouvert d’Ubisoft promet bien des surprises. Et il semblerait qu’un des protagonistes les plus célèbres de la licence soit également de la partie.

Tout comme le prochain Starfield de Bethesda, Star Wars Outlaws semble très ambitieux. Le RPG d’Ubisoft afficherait ainsi des planètes immenses, représentant l’équivalent de plusieurs cartes d’Assassin’s Creed du même éditeur. Mais il semblerait également qu’Ubisoft fasse part belle au fan-service. En effet, la planète Tatooine serait au cœur de l’intrigue du jeu, tout comme le célèbre contrebandier Jabba Le Hutt.

Crédit photo : Lucas Films

Dans Star Wars Outlaws, il semblerait ainsi que le joueur doive passer beaucoup de temps au palais de Jabba. Il serait ainsi possible d’effectuer des missions pour Jabba Le Hutt lui-même et de naviguer dans le monde criminel dont il est le centre. Il serait ainsi possible non seulement de travailler pour Jabba, mais aussi de le trahir, à la manière de Han Solo dans les films originaux.

Star Wars Outlaws : découvrez Toshara, une planète inédite

En plus de la célèbre Tatooine, Star Wars Outlaws vous proposera de découvrir une toute nouvelle planète. Nommée Toshara, celle-ci ressemble fortement au monde de Jabba Le Hutt. Julian Gerighty, le réalisateur du jeu, décrit ainsi ce nouveau monde : “Nous commençons par nous inspirer d’un biome, en l’occurrence celui de l’Afrique du Sud-Est, puis nous le transformons pour lui donner un air un peu étranger […] Pour nous, il s’agit d’une énorme montagne et d’une ville sculptée dans l’ambre de la montagne, une substance cristalline, et de ces affleurements d’orange, un matériau très réfléchissant. C’est ce qui lui confère son caractère extraterrestre. Familier mais frais.”

Matt Martin, directeur de la création de Lucasfilm, est ensuite intervenu pour mentionner la règle des “80/20” de Lucasfilm. Ce concept est simple. En effet, celui-ci consiste à concevoir des lieux qui sont à 80 % familiers, mais à 20 % extraterrestres ou fantastiques. Ce système a été emprunté par Peter Jackson pour la trilogie du Seigneur des Anneaux, affichant des décors et costumes crédibles pour mieux mettre en avant l’aspect épique du lore de Tolkien.

Source : IGN